Processeur
Tegra 3 quad-core T33 cadencé à 1,6 MHz
Mémoire
1 Go de Ram, 8Go de Mémoire Flash
Vidéo
HDMI
Audio
HDMI

La principale particularité de cette console vient du fait qu'elle ne propose que des jeux free to play, c'est-à-dire dont l'accessibilité est gratuite, même si certaines parties du contenu peuvent être payantes. La fourniture d'une adresse électronique et d'un numéro de carte bancaire sont d'ailleurs obligatoires lors du premier démarrage. De plus, elle utilise le système d'exploitation Android, qui est open source, pour permettre aux développeurs d'avoir accès à cette plateforme facilement. Un kit de développement est fourni avec elle, sans frais pour l'acquérir ou pour publier un jeu. Un pad possédant les boutons classiques et les sticks analogiques est également livré avec.

L'équipe du projet Ouya a décidé d'avoir recours aux dons des internautes en menant une campagne de financement participatif sur le site Kickstarter, comme l'a fait la société de jeux vidéo Double Fine Productions. Le projet s'était donné un mois, à partir du 9 juillet 2012, pour atteindre la somme de 950 000 dollars. Au bout de 24 heures, l'ensemble des dons dépassait les 2,5 millions de dollars. À la fin de la campagne, le 9 août 2012, le projet avait réussi à lever la somme de 8 596 474 dollars, ce qui constitue un record parmi les projets liés au jeu vidéo sur Kickstarter.

La Ouya est mal reçue auprès de la communauté des joueurs de par son maigre catalogue dont la plupart des titres existent déjà sur d'autres support plus pertinents mais aussi due à des problèmes de conception. En effet, la manette est très souvent critiquée pour sa mauvaise ergonomie et plusieurs défauts de fabrication ont été relevés (principalement la puce Wi-Fi).

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